Laï laï laï laï laï…Comment que ça fait trop longtemps que je vous ai pas PA-RE-LÉ ! Laï laï laï laï laï…Piiiiiiiiiiiiiii-nai-seuh ! Non franchement de franchement, j’ai l’impression que ça fait des lustres qu’on a pas causé vous et moi…
Nan pas des lustres, des lustres ça irait encore..
Là l’impression que j’ai, c’est que ça fait des…des…chandeliers, ouais voilà des pinaises de longs et lourds chandeliers qu’on s’est pas parlé…ou pt’ête plutôt des…des heu…des heu…Des boudiou de brillants halogènes qu’on a pas tchatché vous, mes gueules, et moi, ma gueule.
Parce que – étant super beaux, cérébralement musclés, neurologiquement véloces, spirituellement insondables, culturellement culturés et tout, et tout – vous le savez sûrement déjà, mais je le précise quand même pour les éventuelles pauvres ânes âmes perdues sur ce blog d’élite : « un lustre » désigne en fait une période de cinq ans, me demandez pas pourquoi, c’est les Romains antiques qui ont dit que c’était comme ça et pis c’est tout.
Bah moi, j’en ai déduit qu’un chandelier, ça devait être kif-kif bourricot mais, peut-être en un peu plus dramatique : du genre six ou sept années mais bien intenses, de celles que même la plus Drama Queen de tes copines pourrait pas s’inventer.
Et pis bah les halogènes ça vaut à peu près dix ans, ça c’est écrit sur le paquet.
Alors, qu’est-ce qui pourrait être plus efficace encore, plus parlant, et, servir à la fois d’éclairage et d’unité de mesure temporelle ?
Hé, je sais les coupains : des bougies radioactives ! Ça, c’est du lourd mes bouches !
Donc, pour clôturer cette magnifique introduction digne du siècle des Lumières, je vous le déclare du fond du cœur :
« Les namis, vous m’avez tellement manqué, que j’ai l’impression que ça faisait des tas et des tas de bougies radioactives qu’on avait pas blablaté ! »
Aïe, aïe, aïe…
Bon sinon, vous savez pourquoi que je sors de mon mutisme chakratique ou pas mes becs ?
→ Bah pour balancer une playlist !
Eh ouais, ainsi que le diraient nos amis anglophones : « Plain and simple my mouths ! »
Et comme, vous devez l’avoir à présent bien compris, (à moins que vous apparteniez à cette minorité improbablement probable d’âmes égarées sur ce blog intelligent destiné aux gens intelligents, auquel cas vous devriez en être maintenant au stade des poussées d’urticaire labio-faciales…) : ça m’a beaucoup manqué de parler.
Mais surtout, je vous l’avoue…de rigouler…de faire des blagues, des JOKES !
Alors, pour mettre un terme à cette longue période d’abstinence humoristique, qui je le sais, vous a fait plus de autant de mal qu’à moi, j’ai décidé de revenir avec un nouveau concept : la PLAYLIST CARAMBIR !
Les Carambirs, you know ?
Un bonbec / une blague…HI-LA-RANTE ! Un autre bonbec / une autre blague…HI-LA-RANTE !
…Eh ben la playlist que vous trouverez ci-dessous, ça sera tout pareil :
Un son / une blague…HI-LA-RANTE ! Un autre son / une autre blague…HI-LA-RAN-TE.
Allez, c’est parti mon kiki !
Qu’est-ce qui est noir, vit dans la forêt, aime se déguiser en vieille dame et poursuivre les petites filles tout de rouge vêtues ?
…
⇒ The Big Bad Wolf motha f*ckaz !
Facile celle-là hein ? !
Que dit-on à une vieille amie que l’on rencontre par un heureux hasard chez le boulanger alors qu’elle se cachait depuis de longs mois pour éviter de nous rendre les 20 euros qu’elle nous devait ?
La réponse dans le vidéoclip suivant ho ho ho !
Ok, c’est deux potes qui discutent joyeusement sur un bateau. Enfin, comme ils sont un peu fauchés, sur une barque plutôt.
Ils discutent joyeusement donc, pis de fil en aiguille, ils en arrivent à parler de Tabitha leur ex…Oui, « leur », ce que Robert le plus mignon des deux potes découvre avec surprise au même moment que vous :
« Pourquoi que tu dis que Tabitha est aussi ton ex, qu’il demande à Bertrand, le moins mignon, mais le plus viril d’entre eux ?
– Comme ça par erreur, répond Bertrand en se tortillant comme une des anguilles qui nageaient sous eux.
– Crénom de nom, s’écrie Robert, au nom de notre loyale amitié, je t’ordonne de me dire immédiatement si tu as jamais croisé le chemin de Tabitha autrement que de la chaste façon dont je croise moi-même de temps à autre celui de ton actuelle moitié Marvinette !
– One…one time, répond Bertrand en bégayant quand même un peu, et…plutôt chastement. »
FIN
Bah en fait, c’te blague c’est la suite de la précédente.
« Never seen ! »
C’est ce qu’a répondu Robert à la mère de Bertrand, quand celle-ci inquiète de ne pas avoir de nouvelles de son fils, lui a demandé s’il ne savait pas où il était.
Au tableau pour résoudre un exercice de mathématiques, Toto se retrouve au final affiché par la maîtresse, qui devant toute la classe, lui crie à quel point il est bête et décevant de ne pas avoir trouvé la solution aussi rapidement qu’elle.
Toto, qui en a plus que sa claque de : 1/ se faire rouspéter tous les quatre matins par c’te vieille mégère ; 2/ servir de cobaye humoristique à des millions de morveux depuis des pinaises de décennies ; décide de se rebeller.
« La dernière vieille *#*#*# qui m’a parlé comme ça, j’lui ai mis deux tartes et je lui ai dit de ****###****, qu’il répond en fulminant des narines.
– Sacrebleu ! s’offusque la maîtresse, j’espère que cette pauvre femme t’as donné le châtiment que tu méritais !
– In fact, she didn’t, répond Toto en se chatouillant cette fois l’intérieur des narines avec le gros orteil , she’s my American thuggish granny and for the first in my life : she told me that she was damn PROUD of me. »
Une petite cool easy !
Je suis bonne, je brille de mille feux, le rouge me va comme à personne et je possède le pouvoir magique de faire couler des larmes d’extase aux rappeurs les plus hargneux ?
… Bravo, vous êtes trop forts !
Là, c’est pas pour blaguer .
C’est juste pour vous dire que je fais une pause, parce que j’ai un peu mal à la main, vous savez au niveau des tendons qui tiennent les doigts qui tiennent les stylos ?
Des tendons très très utiles avec lesquels il ne faut pas rigouler…
Allez à toute.
…Me voici reviendue, prête à vous fabriquer des blagounettes encore plus HI-LA-RAN-TES que celles au-dessus, dont vous n’arrivez pas encore à vous remettre…
Ça me fait penser à une vanne pas du tout drôle que mon prof d’abdos-mollets m’a balancée parce qu’il trouvait que ces derniers justement avaient un tout petit peu tendance à se la couler douce.
Son credo à ce prof, c’est : « Aimez vos abdos et vos mollets et ils vous le rendront en beauté ! »; il hurle ça deux ou trois fois par minute ! Et, ensuite toute la salle doit répondre en cœur : « Aimer ses abdos et ses mollets, c’est s’aimer en beauté ! Ah l’amour c’est beau l’amour, maintenant on court ! »
Et alors que je criais moi aussi l’heureuse et redondante formule magique, il s’est tourné vers moi et a lancé en se marrant comme un sagouin :
« Par contre chez toi Ginette, là il a repris son souffle pis il a continué en forçant sur son accent du Sud bien bien fort, c’est un amour d’ANTAN, d’autrefois…. Un fané, un faded love comme diraient tes collègu-euh Caincain-hin Hin hin hin hin hin hin hin hin hin …! »
Puisque le vilain avait ouvert les vannes aux vannes, j’étais obligée de contre-attaquer.
J’ai attrapé un Carambir dans mon sac (j’en ai toujours dix ou vingt sur moi), j’lai englouti d’un seul coup comme si que c’était rien qu’un petit fil de Barbe à Papa tout léger…et là, j’ai senti la FORCE RIGOULISTIQUE monter en moi.
J’me suis levée et alors que toute la salle était encore en train de se moquer de moi et de mes abdos-mollets, je lui ai répondu : « Ouais bah j’ai peut-être des muscles d’antan mais, contrairement à toi, comme diraient mes collègues Caincains, MOI… je suis bien T’d Up ! »
Et pis j’ai balancé un espèce d’hybride Twist-twerk pour finir ma phrase.
Et là tout le monde – moi et le prof d’abdos-mollets compris – est parti dans un rire DÉÉÉÉ-MENT…Alors que personne, mais alors personne…n’avait la moindre idée de ce que T’d up voulait dire.
CARAMBIR POWA…!!!
Vous vous rappelez de Robert notre doux navigateur ?
Eh ben, en vrai il a pas tout à fait dit la vérité à la mère de Bertrand, puisqu’au moment même où il mettait un terme à leur conversation téléphonique, il avait aussi les yeux rivés sur le visage un peu violet de son ami qui se remettait assez mal du coup de rame dans la tronche qui lui avait été balancé après son semi-aveu sordide.
Robert, qui commençait à devenir un peu dingue-dingue s’est posé cette question : « En regardant Bertrand, là tout de suite maintenant…laquelle de tes chansons préférées te paraitrait la plus adaptée à sa situation ? »
La réponse, vous l’avez en dessous, et la suite je vous la raconte : Robert s’est fendu d’une rigoulade terrible, qu’il n’a pas réussi à arrêter…même à l’arrivée des forc-euh de l’ordr-euh.
Trois coupines, Josephina, Labellia et Samantina, sont devant la garde-robe de cette dernière et préparent avec ferveur leur imminente sortie en discothèque .
Josephina qui n’est pas méchante, mais qui a du mal à comprendre ses limites et celles des autres, au lieu de rester comme tout le monde poliment devant le placard à fringues de Samantina, décide de plonger à l’intérieur de celui-ci, et de, tel un spéléologue expérimenté, creuser à l’aide de ses faux ongles à la recherche d’un trésor caché.
Ce qui devait arriver, arrive : notre téméraire aventurière ressort de la caverne vestimentaire avec la toute dernière, clinquante et normalement-destinée-à-éclater-des-bouches-par-surprise-lors-de-leur-prochain-footing-collectif, paire de Jordan de Samantina.
Toujours dans ce merveilleux état d’esprit « N*quons toute forme de respect », Josephina se tourne en souriant radieusement vers Samantina et lui dit :
« Trooooooooooooooooooooooooooooooop belles !!!!! Je peux les mettre ce soir ? »
Samantina, actuellement et secrètement en Anger Management Therapy, décide après une quinzaine d’inspirations-expirations, de suivre les conseils de son coach…
Elle remet son t-shirt, ses boucles d’oreilles, range ses poings tout au fond de ses poches…et opte pour une réponse égayante et spirituelle :
« When vultures cry. »
Comme Josephina n’a pas l’air de comprendre, Labellia qui joue finalement souvent le rôle de Pascaline la Grande Soeur dans ce beau trio, essaie d’aider notre Indiana Johana : « Je crois qu’elle veut dire, jamais. »
Samantina, qui se sent un peu mieux maintenant qu’elle a pu cracher un peu de son fiel, décide d’être encore plus clémente en donnant l’année exacte à la courageuse idiote : « Ou en 7017 ma gueule. »
…Devinette Hip Hopologique !
Quel est le pire diagnostique qu’un médecin puisse annoncer à un chanteur rapologique ?
« Nigg…man…sorry but…you are carsick. »
C’est sûr, quand vous on va vous voir tout guèze, tout extatique de vivre, on va vous demander ce qui vous arrive !
Ce qui va vous amener à parler des incroyables blagues qui vous ont mis de cette incroyable humeur, et, de l’incroyable Playlist qu’elles accompagnaient…
Et, je le sais parce que je sais à peu près tout : cela amènera vos interlocuteurs à vous demander l’identité de l’incroyable créatrice de tout ce binz…
Ne vous fatiguez pas à cracher mon nom les coupains, laissez les ignorants ignorer…
Balancez juste ce bon petit son si vous voulez vraiment me faire plaisir !
Vas-y les namis, j’vous laisse pour de vrai de vrai c’te fois !
Mais promis, on se revoit très bientôt, et vous-même vous savez, la prochaine : « I will…. »